Périple
de 3 semaines, du 17 Octobre 2012 au 8 Novembre 2012. Tout est organisé dans le
plus grand secret, Pascale connaitra la destination finale, deux heures
seulement avant l'arrivée à destination.
Devinette destination
Physionomiste,
à vous. Cette adolescente:
C'est un grand personnage aujourd’hui.
Elle a un lien avec le Pays ou nous allons. Me donner la réponse uniquement par
SMS sur mon portable : 0033614634630
et surtout ne rien dévoiler à Pascale. La première personne qui trouvera, aura
un souvenir de ce Pays.
Et le gagnant du jeu, c'est:
Et oui, c’est son prénom qui la lie au Pays ou nous allons. Prénom, qui en réalité, n’en est pas un. C’est le nom de famille de Sir Edmund Percival Hillary.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Edmund_Hillary Ce néo Zélandais, réalisa l’ascension de l’Everest (8807m), face sud, côté Népal, le 29 Mai 1953. Les parents de la future grande dame, admiraient énormément cet explorateur. Aussi, à la naissance de leur fille, le 26 octobre 1947, ils décidèrent de lui donner comme prénom, le nom de cet illustre personnage.
Si tout les moteurs tombent tous en panne, ce n’est vraiment pas de chance. Direction Moscou, pascale est très surprise, tout s’embrouille dans sa tête. 11H45, décollage de Roissy. 17H20, atterrissage à Moscou. (Durée du Vol: 3H35). 18h30, on se dirige vers la porte d’embarquement, New Delhi, Pascale, ne comprend plus rien. Si elle avait quelques idées, tout s’écroule. 19H25, embarquement. Bien installé dans l’avion. AH….. Problème. Je n’aime pas du tout ça. Mauvais pressentiment. On nous invite à débarquer et retour en salle d’embarquement. L’avion a un souci technique, on va nous changer d’avion. 3h00 plus tard, décollage de Moscou. Auparavant nous avions 5H30 devant nous pour le transfert a Delhi, là, il va nous rester 2H30, c‘est un peu juste.
3éme Jour : Vendredi 19 Octobre 2012 - Mais le rêve tourne au cauchemar
7eme jour : Mardi 23 Octobre 2012 - Enfin, nous y sommes.
Et le gagnant du jeu, c'est:
Solution à la devinette
Bravo, à la famille RAUBALLY Eric et Marie
Pierre, qui nous ont donné la bonne
réponse, tout juste une heure et demie après l’insertion de la photo dans le
blog. Bravo aussi a tous ceux qui on bien voulu se prêter a se petit jeu. Très
peu ont trouvé, mais ils n’ont pas été aussi rapides. Ce personnage, c’est bien
sur, HILLARY CLINTON,
Et oui, c’est son prénom qui la lie au Pays ou nous allons. Prénom, qui en réalité, n’en est pas un. C’est le nom de famille de Sir Edmund Percival Hillary.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Edmund_Hillary Ce néo Zélandais, réalisa l’ascension de l’Everest (8807m), face sud, côté Népal, le 29 Mai 1953. Les parents de la future grande dame, admiraient énormément cet explorateur. Aussi, à la naissance de leur fille, le 26 octobre 1947, ils décidèrent de lui donner comme prénom, le nom de cet illustre personnage.
1er Jour :
Mercredi 17 Octobre 2012 - Et le rêve devient réalité
C’est parti pour un périple de 23 jours
au Népal, et en Chine, (au Tibet interdit).
14h00, décollage Ajaccio.
15H35, atterrissage Orly. Ensuite navette Air France, pour
Roissy, puis Taxi, direction Aulnay sous bois.
Ce soir nous sommes hébergés chez ma cousine, Brigitte Scarbonchi, ses
enfants, et son ami Hubert. Super et agréable soirée en famille. C’est très
gentil, de sa part car demain matin nous ne sommes qu’a 20 mn de Roissy en
taxi.
2éme Jour : Jeudi 18 Octobre 2012
8h00, nous quittons nos hôtes pour Roissy.
9h00, Pascale me voit me diriger et enregistrer les sacs sur Aeroflot. Ils ont
construit la station MIR, c'est du solide.
Si tout les moteurs tombent tous en panne, ce n’est vraiment pas de chance. Direction Moscou, pascale est très surprise, tout s’embrouille dans sa tête. 11H45, décollage de Roissy. 17H20, atterrissage à Moscou. (Durée du Vol: 3H35). 18h30, on se dirige vers la porte d’embarquement, New Delhi, Pascale, ne comprend plus rien. Si elle avait quelques idées, tout s’écroule. 19H25, embarquement. Bien installé dans l’avion. AH….. Problème. Je n’aime pas du tout ça. Mauvais pressentiment. On nous invite à débarquer et retour en salle d’embarquement. L’avion a un souci technique, on va nous changer d’avion. 3h00 plus tard, décollage de Moscou. Auparavant nous avions 5H30 devant nous pour le transfert a Delhi, là, il va nous rester 2H30, c‘est un peu juste.
3éme Jour : Vendredi 19 Octobre 2012 - Mais le rêve tourne au cauchemar
5H00.
atterrissage à New Delhi (Inde) durée du vol: 5h05. Et là, quelques instants avant l’atterrissage, j’annonce à Pascale notre
première destination. Le Népal. Choc, émotion, joie, elle avait une petite
pensée pour l’Amérique du Sud, les Andes. Une hôtesse, pour le transfert sur
Katmandu, nous rassemble et nous amène rapidement à l’enregistrement d’Air
India. Espérons que nos sacs à dos nous suivent. Ok, nous avons les Boarding
Pass, on va se faire un petit tour en Salle Duty free shop. 6h30, nous
rejoignions la porte d’embarquement, et là, nous sommes interpellé par deux
personnes de la sécurité, qui nous invite à aller vérifier qu’un sac en transit
est bien le nôtre. Je les suis dans la salle des bagages, ou tous les bagages
en soute passent aux détecteurs d’objets. Le sac en question est bien celui de
Pascale. Ils me demandent de l’ouvrir, et ils font une fouille assez
minutieuse. Avant de partir, j’avais mis dans son sac à dos, un petit sac
banane, elle n’en voulait pas, mais j’ai cru bien penser qu’il pourrait servir.
Je ne l’avais plus utilisée depuis au moins 7 à 8 ans. La personne de la
sécurité fouille la banane, et elle en sort 3 cartouches de 9mn.
Les Three-old-bullets qui mon fait risquer la prison à New Delhi.
Grand moment de solitude. Pourtant j’avais bien manipulé cette banane avant de la mettre dans son sac, mais je n’avais pas décelé leur présence. Je suis membre de la Fédération Française de Tir Sportif, et de ce fait, habitué fréquemment à manipuler ce genre d’objet. Celle-ci étant très vieille, et ayant de forte chance de ne point percuter, j’avais du les mettre de coté le jour du tir et les ranger dans cette banane. Et le temps a passé.
Grand moment de solitude. Pourtant j’avais bien manipulé cette banane avant de la mettre dans son sac, mais je n’avais pas décelé leur présence. Je suis membre de la Fédération Française de Tir Sportif, et de ce fait, habitué fréquemment à manipuler ce genre d’objet. Celle-ci étant très vieille, et ayant de forte chance de ne point percuter, j’avais du les mettre de coté le jour du tir et les ranger dans cette banane. Et le temps a passé.
Voyage au bout de l’absurde
La réglementation sur les munitions en Inde
est très sévère. Personne ne doit détenir des munitions, même les services
officiels. La sécurité de l’Aéroport décide donc d’appeler la police pour se débarrasser
de nous. Les policiers les ont envoyés sur les roses, jugeant cette affaire
sans aucune importance. Le temps passent, et l’avion s’en va avec mon sac a dos
qui n’a pas été débarqué, comme le veux le règlement international. Les cartes
d’embarquement nous sont retirées, et l’on nous ramène en salle d’embarquement.
Carrément séquestré, entre les sorties d’avion, et les guichets de remise des
Boarding Pas.
L'endroit de la salle de transit, ou nous avons été retenu pendant 2 jours et demi, sans pouvoir
se laver, ni se changer. Nourrit de sandwich style aviation.
Donc, la Police minimise le problème, (3 cartouches périmées, sourire), la sécurité aéroport renvoie la responsabilité a Aéroflot a qui il reproche de ne pas avoir fait leur boulot, Air India, qui a une trouille bleu de ces (trafiquants internationaux), alors eux, ils sont très mal car ils n’ont pas débarqué notre sac, ils n’ont pas annulé les cartes d’embarquement, donc nous sommes censé être dans l’avion, d’ailleurs réponse qui sera faite a la personne qui nous attendais a Katmandu. Et ce n’est que renvoi de responsabilité et discussion sans fin. Éternel problème des petits chefs de service, qui ne prennent aucune responsabilités et appliquent leurs consignes à la règle pour ne pas perdre leurs boulot. Nous sommes l’attraction de l’aéroport de New Delhi. Voyants cela très mal parti, nous demandons l’intervention de l’Ambassade de France a New Delhi, qui sera a nos côtes dans les deux heures qui suivent. Les tentatives de règlement échouent. La représentante de l’ambassade est très pessimiste, car la sécurité aéroport pour se couvrir à décider de porte plainte contre nous, donc, nous allons nous retrouver devant la police Nationale, avec un avocat et risque de prison. Pour calmer cette absurdité, je dois prouver ma bonne fois et la véracité de mes dire, en faisant envoyer a Aéroflot, par mail, photocopie de ma licence sportive, par mon voisin, qui a du pour cela quitter son boulot, rentrer chez nous récupéré ma carte, la scanner, et l’envoyer par mail. A réception de ce document, tout le monde se renvoi la pierre, en se disant qu’ils ont tous un peu dramatisé.
Donc, la Police minimise le problème, (3 cartouches périmées, sourire), la sécurité aéroport renvoie la responsabilité a Aéroflot a qui il reproche de ne pas avoir fait leur boulot, Air India, qui a une trouille bleu de ces (trafiquants internationaux), alors eux, ils sont très mal car ils n’ont pas débarqué notre sac, ils n’ont pas annulé les cartes d’embarquement, donc nous sommes censé être dans l’avion, d’ailleurs réponse qui sera faite a la personne qui nous attendais a Katmandu. Et ce n’est que renvoi de responsabilité et discussion sans fin. Éternel problème des petits chefs de service, qui ne prennent aucune responsabilités et appliquent leurs consignes à la règle pour ne pas perdre leurs boulot. Nous sommes l’attraction de l’aéroport de New Delhi. Voyants cela très mal parti, nous demandons l’intervention de l’Ambassade de France a New Delhi, qui sera a nos côtes dans les deux heures qui suivent. Les tentatives de règlement échouent. La représentante de l’ambassade est très pessimiste, car la sécurité aéroport pour se couvrir à décider de porte plainte contre nous, donc, nous allons nous retrouver devant la police Nationale, avec un avocat et risque de prison. Pour calmer cette absurdité, je dois prouver ma bonne fois et la véracité de mes dire, en faisant envoyer a Aéroflot, par mail, photocopie de ma licence sportive, par mon voisin, qui a du pour cela quitter son boulot, rentrer chez nous récupéré ma carte, la scanner, et l’envoyer par mail. A réception de ce document, tout le monde se renvoi la pierre, en se disant qu’ils ont tous un peu dramatisé.
4eme jour : Samedi 20 Octobre 2012 : ….suite
Cela va durer 2 jours et demi, sans pouvoir
se laver, se changer, faire des scandales pour avoir à boire et a manger, a
deux reprises j’ai du bloquer la porte d’embarquement.
Toute les deux heures on
nous promet une solution au problème. La dame de l’ambassade, nous confit que
c’est le comble de l’absurde et de la bêtise. Ce qui gêne au fond tous ces
gens, se sont ces 3 cartouches, (détenues par la sécurité), qui voudrait bien
s’en débarrasser, mais que personnes ne veut, et la sécurité aéroport menace,
si une solution n’est pas trouvé, de nous faire convoquer par la police
nationale, avec risque de prison. Alors (ils) on décidés de nous remettre a
Aeroflot pour un retour sur Roissy, et l’ambassade ira récupérer ces 3
cartouches auprès de la police d’état, contre reçu en bonne et du forme du
Gouvernement Français. Et nous dans tout cela, et bien : ……..rien d’écrit,
rien d’officiel, pas d’accusation, pas de déposition, pas de plainte, pas de
condamnation, un sac à dos dans la nature, 2 billets A/R Delhi/Katmandu perdu,
(440€), 4 jours de perdu, et un retour à la case départ, pas gratos, puisqu’on
avait le billet retour par Aeroflot, mais pour le 8 Novembre 2012.
5eme jour : Dimanche 21 Octobre 2012 - Fin du Cauchemar. Nous sommes expulsés du territoire Indien, et renvoyés a Roissy.
5eme jour : Dimanche 21 Octobre 2012 - Fin du Cauchemar. Nous sommes expulsés du territoire Indien, et renvoyés a Roissy.
4h00 du mat, réveil en sursaut, un employé
d’Aeroflot vient nous chercher, pour un embarquement immédiat pour Moscou. Pour
la suite on devra voir sur place car les avions sont pleins. A Moscou, après
plusieurs heures d’attente, Aeroflot nous délivre les autres boarding Pass pour
Roissy (Ils ont été, très gentil et compréhensifs). Rien à voir avec le
comportement borné et indifférent du personnel d’embarquement d’Air India, en
salle de transit. 20h30, arrivée Roissy. Nuit à l’hôtel B&B, a Aulnay sous
bois. http://www.hotel-bb.com/, arrivée sans réservation. Apres notre
histoire, ils nous ont donné leur meilleure chambre, pour 86€ avec petit dejeuner.
Super sympa. On n’a pas voulu ennuyer ma cousine, (Aïe, elle va m’en vouloir).
Enfin on va pouvoir se retaper, après 4
jours et 3 nuits, de mal bouffe, sans se laver, sans se changer. Pascale a très
bien encaissée, mais on arrivait à la limite. Alors je lui promets, ma
chérie :
Demain, c’est bon, on part
en Vacances
Ce rêve, je vais tout mettre en œuvre pour
le réaliser, l’Everest, on va le voir de près. Ce voyage, on doit le faire, pas d'autres alternative. Parole de Paul.
Préparation en catastrophe du nouveau départ
Pas question de perdre encore, nos billets
d'avion, Katmandou/Lhassa, sur Air China, et nos Visas pour le Tibet, obtenu
avec beaucoup de difficultés.
6eme jour : Lundi 22 Octobre 2012
8h30, Départ pour Roissy. Mon copain André
me donne par sms, les meilleurs prix pour Katmandu, sur GO Voyage. C’est Cathay
Pacific, mais à Roissy, les bureaux Cathay ne vendent pas de billets, surtout
le jour du départ. L’hôtesse me donne quand même le prix du billet
A/R…..8000€ !!!!!!....si, si, vous avez bien lu. J’ai tout fait par GO
Voyage, par téléphone, ils sont au top, 2 billets sur Cathay Pacific
Roissy/Katmandu, A/R : 2600€, Via Hongkong et Dhaka (Bengladesh), c’était
une partie de notre budget voyage 2013. Tant pis, on ne repartira qu’en 2014,
mais on a commencé, on ne s’arrêtera qu’a Lhassa. Puis on va faire notre
déclaration de perte de bagage, aux services bagages de Roissy, Ils vont faire
le max. Ensuite RER, direction Fnac Champs Elysée, pour essayer de trouver les
alims, pour tous nos appareils, rien, nous donne une adresse, « Mille et
une piles » à Nation. http://www.1001piles.com/, des super pros, ont, tout ce dont nous
avons besoin, et même mieux. Rachat de divers produits de toilettes pour moi,
7eme jour : Mardi 23 Octobre 2012 - Enfin, nous y sommes.
Arrivée Hongkong. Escale Dhaka, Capitale du
Bengladesh. 22h30 arrivée Katmandu, Népal. La voiture de l’hôtel, réservée par
Laurent de TERRES du NEPAL, nous attends. http://www.terresdunepal.com/
C'est lui qui nous a organisé le voyage au
Tibet. C'est une obligation, pour rentrer au Tibet, on doit passer par une
agence de Katmandou. On le recommande très vivement, leur organisation est au
top. Nuit à l’hôtel Annapurna Guesthouse. Just limit, mais pas d’autres choix.
Laurent nous annonce aucun repos, demain départ 11h30 pour Lhassa
(Tibet/Chine), il a eu énormément de mal à nous avoir les visas, pas question
de laisser passer cette chance unique.
7 Jours au TIBET INTERDIT
8eme jour : Mercredi 24 Octobre 2012 -
Katmandu (1300m) – Lhassa (3650m)
9h30, Nous quittons l’hôtel près un consistant
breakfast, direction aéroport de Katmandu.
11h30, décollage avec Airbus A319,
vol CA408, Compagnie Air China.
Destination Lhassa, capitale de la province autonome du Tibet. C'est-à-dire nous rentrons en République Populaire de Chine.
Notre périple : Katmandu, Lhassa en avion. Puis retour par la Friendship Highway, route mythique qui relie Lhassa, à katmandu, 800 kms en 5 jours entre 4000 et 5250m d'altitude...........Survol de L'Everest. Émotion intense.
Destination Lhassa, capitale de la province autonome du Tibet. C'est-à-dire nous rentrons en République Populaire de Chine.
Notre périple : Katmandu, Lhassa en avion. Puis retour par la Friendship Highway, route mythique qui relie Lhassa, à katmandu, 800 kms en 5 jours entre 4000 et 5250m d'altitude...........Survol de L'Everest. Émotion intense.
15h05, heure locale,
atterrissage, heure de Pékin, même
fuseau pour toute la Chine. YES……..nous y sommes.
Pratiquement les 2 seuls
européens à descendre. D’ailleurs sur le tapis roulant il n’y a qu’un seul sac
a dos, celui de Pascale. Et, oui, car moi je n'ai plus mon sac. Les formalités d’entrée, se font sans trop de
problèmes, juste un peu d’attente. On passe quand même devant un scanner, pour prendre notre température,
afin de voir si nous sommes en bonne santé.
Température élevé = Expulsé. Ok, tout est bon, nous sommes sur le parking de l’aéroport, Vous ne
pouvez pas vous imaginer à quel point je savoure cette victoire.
Pour ceux qui veulent en savoir plus sur le
Tibet: http://fr.wikipedia.org/wiki/Portail:Tibet
De
joie, j'ai pressé le pas pour sortir de l'aéroport, grave erreur.
Souffle coupé et battements de coeur affolé. J'ai oublié que nous sommes
passé en 1h20m de vol, de 1350m d'altitude à Katmandu, à 3650m d'altitude à Lhassa. Le corps n'a pas le temps de s'habituer. Notre guide Tibétain nous attend, avec un
Toyota HDJ 80 et son chauffeur.
40 mn d’autoroute nickel nous sépare du centre de Katmandu. Elle vient d’être mise en service.
Dépôt a l’hôtel, Flora hôtel, en plein centre, près du grand marché, Très bien, accueil sympa, belle chambre spacieuse, salle de bains et WC nickel, mais pas de chauffage et douche, quasi froide. On commence à attraper la crève.
Visite du marché, très haut en couleurs, et d’une propreté incroyable. Partout des gens qui nettoient en permanence.
Déjeuner dans un resto, plats Tibétain et délicieux yaourt au lait de Yack. Très sympa, avec vue sur le marché, ce qui nous permet de voir l’incroyable présence militaire et policière, même sur les toits.
Nous sommes en permanence accompagnés de notre guide. C’est une obligation, ici au Tibet, aucun étranger ne doit circuler seul, et nous devons avoir précieusement en permanence sur nous nos passeports et visa de circulation.
Déjeuner dans resto sympa, mais spaghetti pour changer un peu et toujours Yaourt de Yack. Apres midi, visite du grand marché.
Le guide nous a lâché en début d’après midi, on a pu se reposer un peu a l’hôtel, puis on a balader seul comme des grands, 19h30, repas dans la rue, auprès des marchands ambulants, super, légumes et brochettes de viande grillées. ???? Et yaourt au lait de Yack, mais un gros cette fois ci, que l’on dégustera a l’hôtel, crémeux a souhait, un régal. Les passants surpris de nous voir manger comme eux. La police et l’Armée Chinoise sont omni présent. Caméra et guetteurs sur les toits, sont partout. A l’approche de lieu public très fréquenté, on doit passer des contrôles par des portiques électroniques. Ils récupèrent tous les briquets possibles. Cela reste bon enfant et souriant, mais quand même. Les patrouilles de police et de l’armée chinoise sont quasi permanentes. Ils sont suréquipé en armes, bien sur, mais aussi équipé de longue matraque et bouteille d’extincteurs incendie, en guise de sac a dos. J’ai mis un certain temps à comprendre, mais notre guide nous à expliqué, c’est pour intervenir auprès des bonzes qui s’immolent, (68 en deux ans, quand même), et les longues matraques contre les attroupements intempestifs qui suivent. Sinon, en tant que touriste, accompagné d’un guide, aucuns problèmes,
Mais triste sans ses moines, ses musiques, ses prières. C’est froid, c’est vide de vie. Pourtant, mais là, encore moins que dans les autres monastères, vous ne verrez pas de photos. des intérieurs. L’intérieur est chargé en statue, tapis, broderies, peintures, représentations bouddhiques de toutes sortes, et toutes ses boiseries sculptées.
Tout cela baigne dans des nuages d’encens, et de l’odeur puissante du beurre de yack qui brule dans toutes sortes de récipients en guise de cire, et alimenté en permanence par les pèlerins qui défilent sans cesse. C’est une visite marquante. Même pour moi qui ne suit pas du tout religieux, j’avoue que la puissance, la finesse, la ferveur, de cette croyance, est saisissante. Aujourd’hui, ce Monastère, n’est traversé que par un incessant défilé de pèlerins Tibétain, très pauvres en général, parmi lesquels, se mêle pas mal de touriste, grosse majorité de Chinois, puis Japonais et Coréens, et oui, Lhassa est au monde Bouddhiste, ce que la Mecque est au monde musulmans, ou le Vatican au chrétiens. Les occidentaux se comptent sur les doigts de la main. Un détail, il faut gravir 350 marches pour atteindre le centre du monastère et les salles ou résidait le Dalaï Lama, et avec l’altitude (3650m), ou l’oxygène est plus rare, c’est très pénible.
Retour à l’hôtel en faisant en petit détour par le marché. On est sorti trop tard pour dîner, en plus on vient de s’en rendre compte, nous sommes dans le quartier musulman, c’est Dimanche pour eux et ce soir tout est fermé. Pas question de s’éloigner des alentours de l’hôtel. On trouve une échoppe qui fabrique du beurre de yack et du yaourt à base de lait de yack ; on prend un gros yaourt, ça sera notre repas. Pascale est ravie.
Traversée de nombreux petits hameaux très pauvres, vie précaire, agricole, pas mal d’élevage de moutons, et bien sur, Yack partout. On circule sur des plateaux à 4000m d’altitude, Il fait très froid, on doit se mouvoir doucement, et respirer profondément, car l’oxygène se raréfie.
On suit la rivière Brahmapoutre, nous passons les cols de Kambala (4800m) et de Karola (5010m), puis nous longeons le Lac aux eaux turquoise de Yamdrock.
Les fameux chiens Tibétain, énorme et splendide.
L'Everest.
La végétation est quasi inexistante. Aucun arbre. Juste une herbe rase, dont les Yacks et moutons, doivent se contenter.
Gyansté, visite du monastère.
Nuit au Yack hôtel à Gyantsé. Bouffe locale correcte, mais pour le thé chaud, faut s'armer de patience. Chambre sympa, mais pas de chauffage, pas d’eau chaude, et température négative à l’extérieur.
Habitat local, reconstruit à neuf. Sur les murs et les toits est séchée, puis stockée, la bouse de Yack, pour cuire la nourriture.
Eau chaude solaire pour le Thé...
Déjeuner a Shigasté, Plats Tibétains. Après midi visite du monastère de Tashilumpo, résidence du Panchem Lama.
Nuit au Shic Atseyack Hôtel. Correct, mais problèmes classique de salle de bains. Pas de chauffage, et eau tout juste tiède.
et les yeux de Bouddha.
Pas de problèmes particulier, ils fouillent un peu et surtout ils demandent qu’on leurs remette les « Lonely Planet » et « guide du routard » que l’on possède (il y a marqué Tibet dessus), nous, nous étions informé, aussi, on avait laissé notre routard à Katmandu.
Friendship Highway, côté Népal.
Route tortueuse, défoncée, dangereuse. Dans les deux sens, longue chenille de bus et camions TATA, qui se croise au millimètre, sans se toucher, des virtuoses. L'Everest, et la chaine de l'Himalaya.
Plus on descend, plus la végétation redevient abondante et verdoyante. Nuit à l’hôtel Annapurna Guesthouse, mais demain on va changera d’hôtel, car trop pourri.
15eme jour : Mercredi 31 Octobre 2012
Le centre de Thamel.
Les boutiques regorgent de souvenirs, artisanat, équipements pour trekking, bijoux, pierres, joaillerie, et couteaux Népalais. Les fameux Kukri des soldats Gurkha. Les hommes Sadus Hindou. Les Sanctuaires des Trekkeurs
16 eme jour : Jeudi 1er Novembre 2012
Vue imprenable sur la ville.
Durbar Square. Centre historique de Katmandou........Kumari Ghar, dans cette maison, habite la déesse vivante. Elle apparait dans la journée à la fenêtre centrale, mais il est interdit de la photographier.
Hôtel Puskar, en plein centre de Thamel, accueil sympa, pas cher, 7€, jardin agréable, bon resto, toutes réservations possible, Wifi, mais chambre et sanitaire horrible, hygiène lamentable, on déconseille vivement. Pour routard hyper fauché.
Donc tout autour de nous se ne sont que boutique spécialisé dans les équipements de montagnes, artisanat Népalais et Tibétain, restos et banque, dans tous les coins. Tout cela loin de la tumultueuse Katmandu. Ici c’est calme et sérénité.
19eme jour : Dimanche 4 Novembre 2012
Surtout des oiseaux, des cerfs et des biches. Des sangsues, aussi, Pascale en a attrapé une sur la cheville, ce n’est pas douloureux, mais difficile à enlever. Déjeuner a l’hôtel, puis l’après midi, circuit en 4x4 Suzuki, toujours dans la jungle. 5h de piste, et pas vue grand-chose, a part de très beau rhinocéros, impressionnant. Les crocodiles étaient dans un parc, genre zoo, on a refusé de les voir.
Pas mal d’oiseaux, et deux beaux spécimens de rhinocéros, dans un lac, en toute liberté. Instant magique. Visite d’une ferme d’éléphant, avec leurs tous petits. Trop mignon. Une mère éléphant et son bébé. La chaine des Annapurna, sur la Jungle.
Dernier achats, les cartes de crédits sont devenues toutes molles. Départ de Katmandu à 23h30 pour Hongkong, avec Dragon Air, compagnie du Bengladesh. Petite nuit dans l’avion Durée du vol : 4h15.
40 mn d’autoroute nickel nous sépare du centre de Katmandu. Elle vient d’être mise en service.
Dépôt a l’hôtel, Flora hôtel, en plein centre, près du grand marché, Très bien, accueil sympa, belle chambre spacieuse, salle de bains et WC nickel, mais pas de chauffage et douche, quasi froide. On commence à attraper la crève.
Visite du marché, très haut en couleurs, et d’une propreté incroyable. Partout des gens qui nettoient en permanence.
Déjeuner dans un resto, plats Tibétain et délicieux yaourt au lait de Yack. Très sympa, avec vue sur le marché, ce qui nous permet de voir l’incroyable présence militaire et policière, même sur les toits.
Nous sommes en permanence accompagnés de notre guide. C’est une obligation, ici au Tibet, aucun étranger ne doit circuler seul, et nous devons avoir précieusement en permanence sur nous nos passeports et visa de circulation.
9eme jour : Jeudi 25 Octobre 2012 -
Lhassa (3650m)
Visite de monastère, magnifique, mais vous
ne verrez rien des intérieurs, car toutes photos et vidéo sont strictement interdites. J’ai
bien ma GO Pro, discrètement dissimulé dans les sangles de mon sac à dos, mais c’est
trop risqué, il y a des caméras partout. ......On a évité la prison Indienne, on va
éviter aussi les Chinoises.
Déjeuner dans resto sympa, mais spaghetti pour changer un peu et toujours Yaourt de Yack. Apres midi, visite du grand marché.
Le guide nous a lâché en début d’après midi, on a pu se reposer un peu a l’hôtel, puis on a balader seul comme des grands, 19h30, repas dans la rue, auprès des marchands ambulants, super, légumes et brochettes de viande grillées. ???? Et yaourt au lait de Yack, mais un gros cette fois ci, que l’on dégustera a l’hôtel, crémeux a souhait, un régal. Les passants surpris de nous voir manger comme eux. La police et l’Armée Chinoise sont omni présent. Caméra et guetteurs sur les toits, sont partout. A l’approche de lieu public très fréquenté, on doit passer des contrôles par des portiques électroniques. Ils récupèrent tous les briquets possibles. Cela reste bon enfant et souriant, mais quand même. Les patrouilles de police et de l’armée chinoise sont quasi permanentes. Ils sont suréquipé en armes, bien sur, mais aussi équipé de longue matraque et bouteille d’extincteurs incendie, en guise de sac a dos. J’ai mis un certain temps à comprendre, mais notre guide nous à expliqué, c’est pour intervenir auprès des bonzes qui s’immolent, (68 en deux ans, quand même), et les longues matraques contre les attroupements intempestifs qui suivent. Sinon, en tant que touriste, accompagné d’un guide, aucuns problèmes,
Visite du Potala :… grandiose,
…imposant, …majestueux.
Mais triste sans ses moines, ses musiques, ses prières. C’est froid, c’est vide de vie. Pourtant, mais là, encore moins que dans les autres monastères, vous ne verrez pas de photos. des intérieurs. L’intérieur est chargé en statue, tapis, broderies, peintures, représentations bouddhiques de toutes sortes, et toutes ses boiseries sculptées.
Tout cela baigne dans des nuages d’encens, et de l’odeur puissante du beurre de yack qui brule dans toutes sortes de récipients en guise de cire, et alimenté en permanence par les pèlerins qui défilent sans cesse. C’est une visite marquante. Même pour moi qui ne suit pas du tout religieux, j’avoue que la puissance, la finesse, la ferveur, de cette croyance, est saisissante. Aujourd’hui, ce Monastère, n’est traversé que par un incessant défilé de pèlerins Tibétain, très pauvres en général, parmi lesquels, se mêle pas mal de touriste, grosse majorité de Chinois, puis Japonais et Coréens, et oui, Lhassa est au monde Bouddhiste, ce que la Mecque est au monde musulmans, ou le Vatican au chrétiens. Les occidentaux se comptent sur les doigts de la main. Un détail, il faut gravir 350 marches pour atteindre le centre du monastère et les salles ou résidait le Dalaï Lama, et avec l’altitude (3650m), ou l’oxygène est plus rare, c’est très pénible.
Retour à l’hôtel en faisant en petit détour par le marché. On est sorti trop tard pour dîner, en plus on vient de s’en rendre compte, nous sommes dans le quartier musulman, c’est Dimanche pour eux et ce soir tout est fermé. Pas question de s’éloigner des alentours de l’hôtel. On trouve une échoppe qui fabrique du beurre de yack et du yaourt à base de lait de yack ; on prend un gros yaourt, ça sera notre repas. Pascale est ravie.
11eme
jour: Samedi 27 Octobre 2012 - Lhasa – Gyantsé
(4000m) –
270 kms de paysage grandiose.
Route Mythique reliant Lhassa à Katmandu - La Friendship Highway.
Route Mythique reliant Lhassa à Katmandu - La Friendship Highway.
Traversée de nombreux petits hameaux très pauvres, vie précaire, agricole, pas mal d’élevage de moutons, et bien sur, Yack partout. On circule sur des plateaux à 4000m d’altitude, Il fait très froid, on doit se mouvoir doucement, et respirer profondément, car l’oxygène se raréfie.
On suit la rivière Brahmapoutre, nous passons les cols de Kambala (4800m) et de Karola (5010m), puis nous longeons le Lac aux eaux turquoise de Yamdrock.
Les fameux chiens Tibétain, énorme et splendide.
L'Everest.
La végétation est quasi inexistante. Aucun arbre. Juste une herbe rase, dont les Yacks et moutons, doivent se contenter.
Gyansté, visite du monastère.
Nuit au Yack hôtel à Gyantsé. Bouffe locale correcte, mais pour le thé chaud, faut s'armer de patience. Chambre sympa, mais pas de chauffage, pas d’eau chaude, et température négative à l’extérieur.
90 kms de bonne route, traversée de
nombreux villages Tibétains, traditionnel et pauvre, agriculture et élevage.
Habitat local, reconstruit à neuf. Sur les murs et les toits est séchée, puis stockée, la bouse de Yack, pour cuire la nourriture.
Eau chaude solaire pour le Thé...
Déjeuner a Shigasté, Plats Tibétains. Après midi visite du monastère de Tashilumpo, résidence du Panchem Lama.
Nuit au Shic Atseyack Hôtel. Correct, mais problèmes classique de salle de bains. Pas de chauffage, et eau tout juste tiède.
Friendship
Highway
Traversée du plus plateau du monde, avec
franchissement du plus haut col tibétain accessible par la route, Le Gyatchu,
(5250m),
ainsi que le Lalungla, (5050m). La respiration est très difficile, l’air froid et piquant nous brûle la gorge et les bronches. L'Everest, nous n'avons jamais été aussi prêts.
L'Everest, le toit du monde, enfin a portée de main. Ça méritais vraiment quelques efforts.
Notre guide,
et incroyable, ces gens qui vivent à plus de 5000m.
Notre victoire, notre joie, nous la vivons ici.
YEESSSSSSSS............
Nos masques réchauffent notre nez et l’air que nous respirons. Nos pas et gestes doivent être lents, et notre respiration longue. Tout autour de nous, c’est grandiose.
Tout est net de zéro à l’ infini, les contours sont d’une netteté incroyable.
On distingue le moindre gravillon à des kilomètres.
Nuit à Zhamgmu, terminus de la Friendship Highway côté Chinois et Poste Frontière. *
Hôtel Zhangmu Hôtel, bien, mais la aussi pas de chauffage, et eau tout juste tiède. Pascale et moi, c’est rhume et toux grave. Notre très sympathique guide Tibétain, (obligatoire), qui ne nous à jamais lâché pendant nos 7 jours au Tibet.
ainsi que le Lalungla, (5050m). La respiration est très difficile, l’air froid et piquant nous brûle la gorge et les bronches. L'Everest, nous n'avons jamais été aussi prêts.
L'Everest, le toit du monde, enfin a portée de main. Ça méritais vraiment quelques efforts.
Notre guide,
et incroyable, ces gens qui vivent à plus de 5000m.
Notre victoire, notre joie, nous la vivons ici.
YEESSSSSSSS............
Nos masques réchauffent notre nez et l’air que nous respirons. Nos pas et gestes doivent être lents, et notre respiration longue. Tout autour de nous, c’est grandiose.
Tout est net de zéro à l’ infini, les contours sont d’une netteté incroyable.
On distingue le moindre gravillon à des kilomètres.
Nuit à Zhamgmu, terminus de la Friendship Highway côté Chinois et Poste Frontière. *
Hôtel Zhangmu Hôtel, bien, mais la aussi pas de chauffage, et eau tout juste tiède. Pascale et moi, c’est rhume et toux grave. Notre très sympathique guide Tibétain, (obligatoire), qui ne nous à jamais lâché pendant nos 7 jours au Tibet.
Fin
de la Friendship Highway
L’histoire est en marche
Tibet, ton emblème ne flotte plus que dans
les boutiques de souvenirs du Népal.
Pour beaucoup, tu reste un mythe, mais en réalité tu n’es déjà plus que le nom d’une province chinoise. La gigantesque araignée Chinoise t’as pris dans son immense toile, t’as dévoré, et fini de te digérer, comme un vulgaire petit insecte. A l’image de Pékin, de Shanghai, ou d’autres grandes métropoles chinoises, Lhassa, se construit à leur image. Fini les vieux quartiers, la pauvreté, la saleté. Ce ne sont que large et immense voie de circulation, a l’asphalte immaculé, toute a l’équerre, signalisation moderne, propre, nickel, foison de 4x4 rutilants,
Immeuble moderne, Foule dense et hyper active. La nouvelle religion s’appelle le Yuan. Pour toute la Chine, la province du Tibet est leur nouveau Farwest, leur nouvel eldorado.
Le nombre d’immigrant chinois est en constante augmentation. La population chinoise est déjà supérieure à la population Tibétaine, qui a du mal à sortir du moyen âge, et de l’obscurantisme religieux, pour s’adapter aux nouvelles normes du modernisme, et son économie de marché.
Il faudra encore pas mal d'années, pour que le peuple Tibétain se réveille de cette nuit d'obscurantisme religieux, dans laquelle les ont plongé, les moines, "bonzes" bouddhiste, depuis des centaines d'années. Les religions et autres croyances, ont ceci de monstrueux, c'est quelles arrivent à détruire la personnalité humaine, à asservir complètement l'être humain et le rendre esclave à son service.
Ils ont peu être perdu leur âme, mais ils ont trouvé l’eau potable, des règles d’hygiène, et sanitaire correcte, l’électricité, internet, et le confort à la chinoise. L’école est obligatoire pour tous les enfants. Auparavant, l’instruction, n’était donnée qu’aux jeunes moines, dans les monastères, ils devaient y rester 5 à 7 ans, mais ce n’était pas une obligation.
Aujourd'hui dans la province du Tibet, toutes les religions, toutes les traditions et coutumes sont respectées. Tout les constructions et monuments religieux ou culturel sont rénové, restauré et entretenus, Je n'ai constaté aucune oppression de la population. Par contre ce sont les religieux bouddhiste et leur hiérarchie, qui sèment la discorde et appellent a la révoltent. Normal, ils ont perdu leurs prérogatives et leur esclaves.
"Ce n'est pas l'Utopie qui est dangereuse, car elle est indispensable à l'évolution. C'est le dogmatisme, que certains utilisent pour maintenir leur pouvoir, leurs prérogatives et leur dominance."
Je sais que je vais en choquer pas mal, mais en tant que voyageur, et non pas en tant que touriste, j'ai je le devoir de vous rapporter ce que j'ai vu de me propre yeux, entendu, et ressenti.
La légendaire Friendship Highway côté Tibet est, aujourd’hui, un long ruban de goudron, hyper bien entretenu et structuré, bordé de village refait à neuf, tout en gardant leur style tibétain.
Par contre, dès que l’on passe la frontière côté Népal, ce n’est plus du tout la même chose, on retombe au moyen âge.
Pour beaucoup, tu reste un mythe, mais en réalité tu n’es déjà plus que le nom d’une province chinoise. La gigantesque araignée Chinoise t’as pris dans son immense toile, t’as dévoré, et fini de te digérer, comme un vulgaire petit insecte. A l’image de Pékin, de Shanghai, ou d’autres grandes métropoles chinoises, Lhassa, se construit à leur image. Fini les vieux quartiers, la pauvreté, la saleté. Ce ne sont que large et immense voie de circulation, a l’asphalte immaculé, toute a l’équerre, signalisation moderne, propre, nickel, foison de 4x4 rutilants,
Immeuble moderne, Foule dense et hyper active. La nouvelle religion s’appelle le Yuan. Pour toute la Chine, la province du Tibet est leur nouveau Farwest, leur nouvel eldorado.
Le nombre d’immigrant chinois est en constante augmentation. La population chinoise est déjà supérieure à la population Tibétaine, qui a du mal à sortir du moyen âge, et de l’obscurantisme religieux, pour s’adapter aux nouvelles normes du modernisme, et son économie de marché.
Il faudra encore pas mal d'années, pour que le peuple Tibétain se réveille de cette nuit d'obscurantisme religieux, dans laquelle les ont plongé, les moines, "bonzes" bouddhiste, depuis des centaines d'années. Les religions et autres croyances, ont ceci de monstrueux, c'est quelles arrivent à détruire la personnalité humaine, à asservir complètement l'être humain et le rendre esclave à son service.
Ils ont peu être perdu leur âme, mais ils ont trouvé l’eau potable, des règles d’hygiène, et sanitaire correcte, l’électricité, internet, et le confort à la chinoise. L’école est obligatoire pour tous les enfants. Auparavant, l’instruction, n’était donnée qu’aux jeunes moines, dans les monastères, ils devaient y rester 5 à 7 ans, mais ce n’était pas une obligation.
Aujourd'hui dans la province du Tibet, toutes les religions, toutes les traditions et coutumes sont respectées. Tout les constructions et monuments religieux ou culturel sont rénové, restauré et entretenus, Je n'ai constaté aucune oppression de la population. Par contre ce sont les religieux bouddhiste et leur hiérarchie, qui sèment la discorde et appellent a la révoltent. Normal, ils ont perdu leurs prérogatives et leur esclaves.
"Ce n'est pas l'Utopie qui est dangereuse, car elle est indispensable à l'évolution. C'est le dogmatisme, que certains utilisent pour maintenir leur pouvoir, leurs prérogatives et leur dominance."
Je sais que je vais en choquer pas mal, mais en tant que voyageur, et non pas en tant que touriste, j'ai je le devoir de vous rapporter ce que j'ai vu de me propre yeux, entendu, et ressenti.
La légendaire Friendship Highway côté Tibet est, aujourd’hui, un long ruban de goudron, hyper bien entretenu et structuré, bordé de village refait à neuf, tout en gardant leur style tibétain.
Par contre, dès que l’on passe la frontière côté Népal, ce n’est plus du tout la même chose, on retombe au moyen âge.
Adieu le Tibet, Au revoir la Chine
Bonjour le Népal
Sur les chemins de Kathmandu
Pour ceux qui veulent en savoir plus sur le Népal: http://fr.wikipedia.org/wiki/Portail:Népal Drapeau du Népal, le seul au monde à avoir cette forme,et les yeux de Bouddha.
Ce
matin tôt, 8h, on passe la Frontière Tibet / Népal.
Pas de problèmes particulier, ils fouillent un peu et surtout ils demandent qu’on leurs remette les « Lonely Planet » et « guide du routard » que l’on possède (il y a marqué Tibet dessus), nous, nous étions informé, aussi, on avait laissé notre routard à Katmandu.
Friendship Highway, côté Népal.
Route tortueuse, défoncée, dangereuse. Dans les deux sens, longue chenille de bus et camions TATA, qui se croise au millimètre, sans se toucher, des virtuoses. L'Everest, et la chaine de l'Himalaya.
Plus on descend, plus la végétation redevient abondante et verdoyante. Nuit à l’hôtel Annapurna Guesthouse, mais demain on va changera d’hôtel, car trop pourri.
15eme jour : Mercredi 31 Octobre 2012
Shopping
et découverte de la ville. Durbar Square. Centre historique de Katmandou.
Le centre de Thamel.
Les boutiques regorgent de souvenirs, artisanat, équipements pour trekking, bijoux, pierres, joaillerie, et couteaux Népalais. Les fameux Kukri des soldats Gurkha. Les hommes Sadus Hindou. Les Sanctuaires des Trekkeurs
Kathmandu
16 eme jour : Jeudi 1er Novembre 2012
Visite
du temple de Swayambunath, perché sur une colline, à deux kms du centre, appelé
aussi, Monkey Temple, pour les colonies de singes qui y sont installées.
Vue imprenable sur la ville.
Durbar Square. Centre historique de Katmandou........Kumari Ghar, dans cette maison, habite la déesse vivante. Elle apparait dans la journée à la fenêtre centrale, mais il est interdit de la photographier.
Hôtel Puskar, en plein centre de Thamel, accueil sympa, pas cher, 7€, jardin agréable, bon resto, toutes réservations possible, Wifi, mais chambre et sanitaire horrible, hygiène lamentable, on déconseille vivement. Pour routard hyper fauché.
Pokhara
Au pied de la chaine des Annapurna.
17eme jour : Vendredi 2 Novembre 2012
7h, Départ pour Pokhara. Bus confortable,
mais route très pénible, défoncé, étroite, a flanc de colline, cortège sans
fin, dans les deux sens, de voiture, bus et camions en tout genre, plus que
surchargé. Tout ça dans un nuage de poussière, de gaz d’échappement, on doit
mettre nos masques. On doit rajouter à cela un bruit infernal et permanent de
centaines de klaxons. Arrivée à Pokhara, 15h. A la descente du car, ce ne sont
pas les propositions d’hôtels qui manquent. Un peu au hasard, notre choix va
sur le Snow Hill Lodge,
au bord du lac. Pas déçu du tout, super mignon, dans un cadre agréable de
verdure, belle chambre avec salle d’eau, WC, très clean, Resto, simple mais
très bon, Wifi. Tout à pour 800 roupettes, (7,30€), et accueil super sympa. On
recommande vivement. Pokhara, est au pied de la chaine des Annapurna, c’est le
lieu saint de tous les trekkeurs du monde.
Donc tout autour de nous se ne sont que boutique spécialisé dans les équipements de montagnes, artisanat Népalais et Tibétain, restos et banque, dans tous les coins. Tout cela loin de la tumultueuse Katmandu. Ici c’est calme et sérénité.
18eme jour : Samedi 3 Novembre 2012
Visite de Pokhara.
Shopping. Ce sont deux jours de repos et de calme. On se refait une santé.
19eme jour : Dimanche 4 Novembre 2012
Départ tôt de l’hôtel pour le Park National
de Chitwan, 5h30 en bus local. Superbe Hôtel, Hôtel Parkside, nous avions négocié a Thamel à
l'agence à l'intérieur de L'hôtel
Puskar, 3 jours, 3 nuits, tout compris, chambre, repas,
balades, et transports de Phokara, jusqu'a Katmandou, 310€, pour 2 personnes,
une affaire. http://www.hotelparkside.com et http://www.chitwannationalpark.com
20eme jour : Lundi 5 Novembre 2012
Départ de l’hôtel a pied pour une ballade
dans la jungle a la découverte de la faune de la réserve.
Surtout des oiseaux, des cerfs et des biches. Des sangsues, aussi, Pascale en a attrapé une sur la cheville, ce n’est pas douloureux, mais difficile à enlever. Déjeuner a l’hôtel, puis l’après midi, circuit en 4x4 Suzuki, toujours dans la jungle. 5h de piste, et pas vue grand-chose, a part de très beau rhinocéros, impressionnant. Les crocodiles étaient dans un parc, genre zoo, on a refusé de les voir.
Ce matin, départ très tôt pour un safari de
3h, à dos d’éléphant, dans le Park National de Chitwan, en pleine jungle
Népalaise, un calme, un silence, a part les bruits propres a la jungle. Vue beaucoup d’oiseaux de toutes
sortes, des biches, des cerfs, des crocodiles, Les fameux rhinocéros du Népal,
à une seule corne. Mais pas de tigre, faut dire que se sont des animaux
nocturne, ils sortent la nuit pour chasser, le jour ils dorment. Déjeuner a
l’hôtel, puis ballade a pied cette fois ci, dans la jungle, pour essayer de
voir d’autres animaux.
Pas mal d’oiseaux, et deux beaux spécimens de rhinocéros, dans un lac, en toute liberté. Instant magique. Visite d’une ferme d’éléphant, avec leurs tous petits. Trop mignon. Une mère éléphant et son bébé. La chaine des Annapurna, sur la Jungle.
Retour sur Katmandu : la Turbulente
22eme jour : Mercredi 7 Novembre 2012
9h30, ce matin nous quittons l’hôtel
Parkside à Chitwan. 5h30 de bus pour arriver à Katmandu, sur une route
étroite, défoncée, et que des virages.
Dans les deux sens, deux files interminables, de bus bondés, camions
surchargés, voitures et motos, pied au plancher, et main sur le klaxon. Tout ça
se croise au millimètre prêt, les
chauffeurs sont des virtuoses du volant. A l’arrivée, on saute dans un taxi.
Premier hôtel, complet, deuxième, c’est bon. C’est le Backyard hôtel en plein
centre de Thamel. Très Correct. http://www.hotelbackyard.com/, Promenade dans le centre de Thamel, les
boutiques regorge de tout. On termine nos derniers achats. Repas dans un resto
spécialités Italiennes, Pizza excellente. ALCHEMY, prés de Potala
GuestHouse, on recommande. Après 3 jours de bouffe Népalaise, identique à
chaque repas, à Chitwan, ça fait du bien.
Dernières heures de baignade dans la cohue
poussiéreuse, bruyante, et odorante de
Katmandu.
Dernier achats, les cartes de crédits sont devenues toutes molles. Départ de Katmandu à 23h30 pour Hongkong, avec Dragon Air, compagnie du Bengladesh. Petite nuit dans l’avion Durée du vol : 4h15.
24eme jour : Vendredi 9 Novembre 2012
6h00 arrivée Hongkong. Nous ne sommes pas
sorti de l’aéroport, car nous étions assez fatigué, et beaucoup de sommeil à
récupérer. Nous avons passé la journée à
se reposer, dormir, faire les magasins de la zone transit.
25eme jour : Samedi 10 Novembre 2012
00h05 départ Hongkong, 6h00 arrivée Roissy.
Durée du vol : 13H30. Direction vers les services des bagages perdus,
ALYZIA, pour récupérer mon sac à dos perdu par Air India. Malheureusement,
malgré toutes les recherchent, impossible de savoir ou il se trouve. D'après
les employés d’ALYZIA, il se trouverait toujours à Katmandou, Air India ne
répondant pas à leurs réclamations. Mais ils continuent de s'en occuper. On a
perdu la matinée, mais cette histoire ne va pas en rester là. Donc, direction
Orly, avec la navette Air France, 13h00 départ d’Orly. 14h35 Arrivée a Ajaccio.
Nos amis, Anne GODIN et André COSIMI, sont là pour nous accueillir, et nous
ramener à la maison. Merci à eux, pour leur aide, merci aussi à Cyril et
Vanessa ALBERTINI, grâce à qui, le pire
a été évité à New Delhi, remerciements aussi a Laurent de TERRES du NEPAL, à
Katmandou, sans qui ce voyage au Tibet n'aurait pu se faire, son organisation a
été sans faille, et enfin grand remerciements à Mme FESTAUD Martine,
Consul-adjoint, de l'Ambassade de FRANCE à New Delhi, pour son intervention,
son soutient et son aide précieuse.